Stephan Hellec a cette devise depuis son adolescence :
"Vivre intensément, vivre en tous lieux".

Parcours atypique pour cet homme féru d'Expressionnisme américain et de Rock britannique. 
Après des études d'économie à Paris, il prend ses quartiers à Los Angeles pour sept ans, s'inscrit à UCLA et Lee Strasberg Theatre Institute. Il rencontre Mel Brooks. Mais c'est un contact avec une créatrice en accessoires de mode qui l'incite plus tard à développer ses premiers modèles de bagages.

A New York ensuite, il y reste une année. Il fréquente le milieu culturel de la ville sur les traces de son peintre favori : Barnett Newman. Une vie d'errance mondaine et de bien être intellectuel, dit-il. Il rencontre John Cage chez le peintre Robert Kushner.
Rentré en France, il sort ses premiers modèles de Sacs sous l'étiquette Stephan Hellec Belle Île en Mer. Il demeure très attaché à l’Île pour sa grande beauté dont la renommée attira de grands artistes comme Sarah Bernhardt, Monet ou Vasarely.

Virage à 180°, il s'oriente aujourd'hui vers un esprit très "ville". Des sacs à main aux lignes soignées apparaissent.
Les cuirs sont sélectionnés et la fabrication reste volontairement française. Sa clientèle est exclusive, les séries limitées.                   « Le luxe, c’est avant tout le Bonheur, la culture, la qualité du produit, et l’histoire derrière la marque. »

Il y a quelque temps, Madame Nadine de Rothschild lui a demandé de créer une petite pince pour consommer les moules.
C’est aussi la Pince « finger food » de certains restaurants tendances.